Like a virgin… ouuuuh…
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Non non, pas la suite, c’est pas vrai de toute façon la suite. Le début, oui, mais pas la suite *on a tous joué un jour ou l’autre à touche pipi dans son enfance non ?*

Bon, passée cette plaisanterie douteuse, pour comprendre comment on vit maintenant, il faut revenir aux… origines ! *étoiles dans les yeux, conte de fée inside, ou pas, c’est à voir*

Comme dit dans un autre article, on s’est connu très tôt avec Asmodius *pas assez pour jouer à touche pipi ensemble, malheureusement*.
Tous deux issus de familles avec les deux parents qui s’aiment *on était des aliens pour les autres*, donc avec une bonne idée de ce qu’est la fidélité, l’amour et tout et tout *merci papa maman, enfin, pas pour tout vu la suite*.

Pour ça que, avant de se sauter dessus, on est d’abord devenus des amis *ça et le fait qu’on était trop cons pour se dire qu’on s’aimait*. Et on a jamais arrêté d’être amis : Asmodius est mon meilleur ami avant d’être mon amant ou même le père de mes enfants *ouaaa, la rime de fou*.

On a très vite discuté de nos aspirations, et on s’est très vite rendu compte qu’on allait dans le même sens : et oui, s’aimer, c’est pas se regarder l’un l’autre, mais regarder ensemble dans la même direction !
Très cliché fleur bleue, mais tellement vrai. La société actuelle nous pousse pourtant à faire l’inverse, et c’est super triste.

Après avoir checké nos listes de vœux qui se rejoignaient, l’attrait des corps était quand même là mais…
Issue d’une famille un poil « puritaine » *carrément, même si on peut parler de tout, on n’a pas le droit de tout faire*, j’ai fait subir un calvaire à Asmodius qui a été d’une patience d’ange *comble pour un démon* : pas question de me toucher les zones potentiellement érogènes *entendre l’entre jambe et la poitrine*.
Le pauvre s’est rabattu sur les oreilles *super érogène, faut pas croire* et mes lèvres *celles du haut, pas celles du bas, bande de pervers*

Un jour c’était oui, l’autre non, dur dur pour lui *surtout dans le pantalon, huhu*

Et c’est à force de patience aussi bien physique que de discussions qu’on est arrivé à notre première fois ! Et c’est moi qui ai demandé *tadaaaaa*
Et j’ai pas regretté *sur le coup, mais l’infection urinaire carabinée qui a suivi… ouille ouille ouille : pour ça qu’il faut toujours faire pipi après*.

J’étais vierge, lui puceau, et on ne voyait pas les choses autrement : l’expérience, on allait la construire ensemble, parce qu’on se voyait vieillir ensemble, une évidence !

 

Voilà, c’est ça notre secret : croire en l’autre, savoir au fond de ses tripes que c’est pour toujours ! *j’avais prévenuuuuuu, c’est fleur bleue 🥰*

 

Même si les autres n’y croyaient pas. D’ailleurs, on a bien essayé de nous mettre en garde : il t’utilise, elle te fait du chantage affectif … *merci la famille*

Suite à ça, on a eu le désir de fonder une famille assez tôt. Pourquoi ? Parce que mes parents étaient déjà vieux, et que je voulais connaître mes petits enfants si un jour j’en avais *c’est pas encore le cas, je vous rassure, on n’est pas si vieux que ça*.

Encore une fois, on nous a mis en garde, et même reproché de faire des enfants trop tôt, pas au bon moment… Et on n’en a rien eu à foutre *ouais, je suis grossière, mais ils méritent*

Et qu’est ce qu’on a bien fait : on était jeune, on a fait nos enfants, on avait la pêche *on l’a perdu très vite…*. Pas forcément beaucoup de moyens, mais la volonté de s’en sortir.

Maintenant, on est plus âgés, on a plus de moyens *enfin, plus, c’est pas difficile, disons qu’on s’en sort*. Et tous les autres rabats joies qui nous sortaient : vous profitez pas de votre jeunesse, vous allez regretter de ne pas avoir voyagé, etc *on n’aime PAS voyager* s’en mordent les doigts.

Et oui, eux, ils ont plus de 30 ans, voire 40, veulent des enfants qu’ils ont toutes les peines du monde à avoir *tic tac l’horloge biologique*, et quand ils y arrivent, ils nous disent : mais comment vous avez fait, avec 4, déjà qu’un seul, on est sur les rotules ?
Hé hé, nous on avait 10 ans de moins, huhuhu!

Attention, je comprends tout à fait qu’on puisse trouver l’âme sœur tellement tard dans sa vie qu’on ait pas le choix de faire autrement, je parle surtout de ceux qui pensent qu’ils seront éternellement jeunes !

 

Voilà pourquoi, maintenant, nos enfants prenants de plus en plus d’autonomies, à nous les grasses mat *coquines parfois, même si je suis plutôt du soir*, les cinémas, les restos parfois *quand les finances le permettent*

On a toujours besoin de les mettre en garde si on doit partir un weekend, rassurez vous, et là, quatre enfants, c’est plus dur à caser *ils sont, hum, un peu particuliers nos enfants… mais c’est un autre sujet*. Mais on y arrive parfois, même si Asmodius est un poil casanier *sauf pour aller aux salons de l’érotisme comme par hasard*

Asmodius : Casanier, pas forcément… Mais, si je n’aime pas quelque chose, que je ne retrouve pas un certain confort, et que mon chez moi risque quelque chose, oui, j’ai du mal à partir. Après, des sorties, pas de soucis…D’où mon « étonnante » facilité à aller aux salons de l’érotisme 😛

Donc voilà comment on fait : on a appris à nos enfants à gérer leur quotidien, petit à petit. Ça marche pas toujours, mais ils peuvent se passer de nous suffisamment longtemps pour nous permettre de nous retrouver.
En fait, quand ils étaient petits, c’était limite plus simple *pas pour les grasses mat, ça tu oublies hein* : ils captaient que dalle à notre vie intime !
Maintenant qu’ils sont grands et qu’on les a « initiés » à l’humour et au double sens, c’est plus difficile de se cacher : les petites allusions au cours de la journée pour faire monter la sauce, ils les comprennent *et meeeerde*.

 

 

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