Parce que pour faire toutes ces cochonneries *ouais, on est dévoyé, on est des pervers : on s’aime et on se le montre😍* qu’on vous présente dans les autres articles, il faut bien songer à un minimum de protections.
Aujourd’hui, je vous propose *ou pas, en fait, je vais quand même l’écrire, même si vous z’êtes pas d’accord* de parler de : contraception !

Alors, il y a celles qui empêchent d’avoir des bébés *mais pas tout le temps* et des maladies *beurk on les aime pas celles là*, celles qui empêchent d’avoir des bébés *tout le temps* et même d’avoir ses règles *ses ragnagnas, ses menstruations, au choix, même si on les aime pas plus* mais tu peux choper les maladies *beurk, c’est nul les maladies on a dit*.

Mécanique ou hormonal, on n’a pas tous le choix malheureusement, il faut faire avec ce qu’on est *saleté de corps 🤬*.

Donc le préservatif masculin *ou capote, à ne pas confondre avec celle de la voiture😎*, c’est la base j’ai envie de dire. Sauf que le petit malin se décline en tellement de tailles *comme pour les voitures : vous me mettrez un 4×4, c’est pour aller dans la merde 💩*, formes *texturé, rainuré…*, couleur *il parait même qu’il y en a qui brillent dans le noir : sabre laseeeer ! 🤛* et même goût *entre nous, sauf pour aller dans la bouche, je vois pas l’intérêt et je garanti pas la qualité des arômes : ça peut être risqué pour monsieur, un coup de dent est vite arrivé*.
Très pratique pour les « coups d’un soir » *ou plus, à vous de voir* et éviter les conséquences fâcheuses : bébé ou MST *maladie sexuellement transmissible : toutes les saloperies type gonorrhée, syphilis, sida et autres joyeusetées* (j’ai mis les liens wiki pour pas mourir idiot, mais je les ai pas lus).
Un test sanguin ne vous met malheureusement pas à l’abri en cas de « défaillance » de l’un des partenaire *en gros, t’es cocu 😖*.
Il arrive que ça « craque », même si c’est rare. Il y a également des allergies possibles au latex, mais il est possible d’en trouver sans à l’heure actuelle.

Ouverture de parenthèse
L’autre avantage, plus récréatif *rien à voir avec la contraception du coup : faut bien s’amuser un peu dans les articles pas drôles* : changer de trou 😛 😍!
Le fait est que, si on veut pas se choper une infection urinaire ou pire, il vaut mieux faire attention .
La technique consiste à mettre un préservatif, commencer en vaginal, passer en anal, puis retirer le préservatif *on n’oublie pas cette étape hein, important 😡* avant de repasser en vaginal, et, pour les plus téméraires *qui se sont testés de toute façon, puisqu’ils ont retiré la capote #grosyeux* repasser à nouveau en anal *on s’arrête là, après faut se laver si on veut encore changer : faut pas pousser*.
Il y a moyen d’être créatif avec pas grand chose !
Fermeture de parenthèse

Moins connu, il y a aussi le préservatif féminin *on me demande pas comment on le met, j’ai jamais testé* (toujours lien wiki, on se méfie, mais ça donne une idée générale).
Le principe de protection est le même que pour son homologue masculin : créer une barrière physique pour éviter le mélange des fluides corporels *c’est beau hein ?*

Ouverture d’une autre parenthèse
Au passage, on vient de se poser la question avec Asmodius : mais si le préservatif il reste DANS le vagin de la madame, qu’est ce qui empêche un changement de trou à l’infini *enfin, pas vraiment infini*. C’est une idée à creuser : je ne sais pas si c’est réaliste ni réalisable sans risquer malgré tout une infection *ou piiiiiire, même si je ne vois pas bien ce qui pourrait être pire*.
Fermeture de l’autre parenthèse

Il n’y a que ces deux produits (préservatifs masculin et féminin) qui soient une barrière physique et donc efficace contre les MST. Ce qui suit est donc uniquement pour éviter une grossesse non désirée.

Les spermicides *faut pas se dire : aller hop, on y va*.
Il s’agit d’une crème, ovule ou éponge à mettre dans le vagin un petit moment AVANT le rapport sexuel (selon les modèles) pour tuer les bêbêtes des messieurs. Celui là est juste pour éviter d’avoir des bébés, ça ne protège donc en aucun cas des MST *mode soulante mais j’assume*.
Donc pas des masses pratique, ça tue un peu la spontanéité, et d’efficacité plus ou moins douteuse. Il faut savoir que ça existe, et que ça sert plus souvent en complément d’une autre contraception.
L’avantage, c’est que c’est peu invasif *pas d’hormone dans tout le corps* et peut être utilisé ponctuellement.

La pilule ou comment on se noie dans une marée de produits hormonaux tous super différents.
Il en existe pas mal, première, deuxième, voire troisième génération *très décriée celle-là au passage pour ses risques cardio-vasculaires*.
Mini dosées, micro dosées, à prendre en continu *pour plus avoir de règles 😁* ou au contraire avec une pause *pour avoir des règles 😒*.
Tolérance d’oubli de 12h *ouf, chéri, on sera pas parents*, ou de 2h seulement *aaaarrrrg, chéri, on va avoir un bébé, surpriiiiiise*, en fonction du dosage hormonal : ce qui fatalement a un impact différent sur chacune d’entre nous.

Personnellement, j’ai testé « Mercilon » *me demandez pas le nom du générique c’est imbuvable*, qui est une pilule de troisième génération avec règles.
Elle m’allait très bien avant que j’ai des enfants, après trois grossesses, je ne la supportais plus *douleurs abdominales, saignements, règles abondantes et douloureuses*, j’ai pas compris pourquoi, c’est un mystère, mais c’est comme ça.

Contrairement aux idées reçues, l’allaitement ne protège PAS totalement d’une nouvelle grossesse : il faut une telle régularité des tétées et une telle durée de celles ci pour que cela est un impact réel. Donc n’y comptez pas trop !
C’est pour ça que j’ai commencé avec celle qu’on m’avait prescrite : « Cérazette ». Franchement, j’étais contente *12h de battement si j’oubliais de la prendre*… pendant quelques mois, enfin, très peu de temps. Après ça, j’ai commencé à avoir des saignements légers, mais tout le temps, accompagnés de douleurs violentes. Donc exit la facilité *bouuuuuh 😭*.
Je me suis rabattue sur « Microval » *très vieille pilule il parait*. De toute façon, j’avais pas trop le choix : la solution suivante, c’était l’abstinence ou les préservatifs *trop chers à ce moment là pour notre maigre bourse*. J’ai pleuré quand j’ai vu la tolérance de panne : 2h ! T’as intérêt d’être au taquet pour la prendre : aller hop, on se met une alarme sur le téléphone, et sur le pc, et sur la montre, et… Meeeerde, je l’ai oublié ! Et je m’en suis rendue compte une semaine après quand j’ai recompté les comprimés *grosse merde en perspective on s’était dit à ce moment là*.

Et c’est là que, heureusement, j’avais une visite avec mon obstétricien pour la pose d’un … Stérilet !

Le stérilet est un petit … machin… enfin, truc quoi… qu’on te positionne DANS l’utérus pour qu’il évite que les bébés ne s’installent. Et, chance pour nous, c’est la solution qui est adoptée quand on a oublié de prendre la pilule et qu’on s’en est rendu compte trop tard pour prendre la pilule du lendemain *que je pouvais pas prendre de toute façon parce que j’allaitais : la boulette*.

Comme pour la pilule, il en existe plusieurs. Ils sont répartis en deux catégories : au cuivre, et hormonaux.
Celui au cuivre *que j’ai choisi vu l’action dévastatrice des hormones sur mon pauvre petit corps 😭* n’a qu’une action mécanique et donc anti nidification : ça signifie qu’il y a fécondation, mais que l’embryon ne peut pas rester et les règles arrivent normalement. C’est aussi pour ça que le stérilet au cuivre provoque souvent des règles beaucoup plus abondantes *je devais prendre un anti hémorragique, c’est pour dire* et aussi plus douloureuses *fuit si tu as de l’endométriose*.
Au passage, le stérilet, surtout au cuivre, peut provoquer des infections urinaire post coïtales *en gros, tu niques, t’es niquée : t’a choppé une infection* : très peu connu comme effet secondaire puisque pas fréquent mais attesté par mon urologue.

Ceux qui ont en plus une action hormonale sont souvent mieux tolérés.

Le gros avantage, et non des moindre : liiiiiibre, plus besoin de penser à la pilule.
Il faut quand même faire un suivi tous les ans chez son gynéco *ou médecin traitant qui veut bien le faire comme moi : il fait juste pas la pose et dépose qui doit se faire environ tous les 5 à 10 ans*.
Au passage, la pose d’un stérilet, quand c’est bien fait, ça fait ABSOLUMENT PAS MAL. Ce qui est le plus gênant dans l’histoire, c’est la désinfection du col de l’utérus juste avant *un peu comme un frottis pour celles qui ont déjà eu (tous les 3 ans je le rappelle)*. Pour le retrait, ça picote un peu, mais rien de méchant, et une fois ôté, plus rien *quelques saignements peuvent persister*.
Il est parfois possible que monsieur ait le casque qui frotte dessus lors des rapports : ne pas hésiter à le signaler, sauf si on s’en fout parce qu’on préfère l’anal *mais pourquoi mettre un stérilet alors ? 😅*.

Les bâtonnets ou comment tomber enceinte sans le savoir *oups, je l’ai écris tout fort*.
Déjà, il faut l’implanter, et il faudra le retirer trois ans après, pas plus. Donc exit les petites natures : faut ouvrir pour le mettre et le retirer.
Il est vrai que c’est pratique : plus besoin d’y penser, plus de règles… Et c’est là que ça en gêne certaines *comme pour les pilules sans interruption qui suppriment les règles*.
Comment savoir que c’est efficace et que je suis pas tombée enceinte ? Ben tu peux pas !

J’ai une amie qui a eu cette contraception, et elle trouvait ça génial : plus besoin d’y penser et ça n’avait pas l’air de la gêner *perso, j’ai toujours eu des doutes : je suis sûre que ça m’aurait fait mal, sensible comme je suis*.
Une de ses connaissances en revanche, elle, a trouvé ça moins fun quand le docteur a voulu lui ôter mais pfffffuit, plus de bâtonnet, pas moyen de le trouver : il avait migré dans son corps 😱 *je vous rassure, au final, ils l’ont trouvé*.
Alors ça arrive pas à chaque fois, faut pas paniquer. Mais vérifier la position du bousin de temps en temps, c’est pas la mort non plus.
Le soucis de mon amie aussi, c’est qu’elle a bien mis 6 mois avant de récupérer un cycle : donc faut pas être pressée si finalement on veut des enfants *remarquez, un peu comme les pilules*.

Vous avez compris, je suis pas fan, mais c’est une question de mode de vie et de fonctionnement interne *dans la tête tout ça 😋*.

On entre dans le côté carrément plus définitif du coup : les opérations.
La vasectomie bilatérale *ben oui, d’un côté seulement, ça sert à rien, sauf si tu es mono couille comme Jean-Claude Convenant*.
Là je vais pas dire grand chose, c’est surtout Asmodius qui pourra vous en parler!

Asmodius : Alors messieurs, faut savoir plusieurs choses sur la vasectomie !
Déjà, il faut un délai de réflexion (4 mois). Car contrairement à ce que j’ai pu lire ou entendre ici et là, le corps médical indique clairement qu’il faut considérer cet acte comme une stérilisation définitive ! Vous avez d’ailleurs un formulaire de consentement en ce sens à signer afin de BIIIIIEEEENNN vous le rappeler. 😉
Malheureusement, certaines personnes, ne se reposant que sur les écrits génériques trouvables un peu partout, n’ont pas pris le temps de rencontrer d’urologue afin de vérifier leurs sources. Donc j’insiste lourdement !
Même si ça peut arriver que ce soit réversible, il ne faut pas le considérer comme une option !
Passé ce rappel, on continue…
C’est fait en ambulatoire…Comprendre : reste chez toi à souffrir pouilleux 😀 c’est moins cher pour la sécu…
Je rigole, mais c’est vrai que niveau prise en charge de la douleur post-opératoire, on est sur du doliprane ou un générique…
Autant dire, ça douille un peu sec…Et pendant environ deux semaines si pas de problèmes post-op.
MAIS ! Ben oui, il y a un mais, sinon, c’est que je serais masochiste *Quoique, vu que je suis avec Lilith, je dois l’être un peu 😀 *, l’avantage, c’est que t’es tranquille après.
Bon par contre, on ne fait rien sans un spermogramme de contrôle, afin de vérifier que l’opération est un succès…Sinon, surpriiiise ! 😛
Et par la suite, à vous la tranquillité d’esprit et la joie de pouvoir vous adonner aux plaisirs charnels non stop… 🤤

Lilith : Et quand on te demande d’aller chercher les enfants à l’école huit jours après l’opération, tu te proposes pas d’y aller A VELO !
Si si, il a osé… et il a douillé ! 🤣 *je me permets de rire, parce que je l’avais prévenu*

La ligature des trompes *ah les fallopes : ils se sont pas foulés pour cet article là sur wiki*
J’ai pas fait ça, d’une parce que monsieur s’est proposé, de deux, parce que monsieur s’est proposé parce que *j’en parlerai dans un autre article* il n’est pas judicieux que je me fasse opérer de cette zone là.
Du coup, il s’agit encore de couper le robinet : si les spermatozoïdes et l’ovocyte ne peuvent pas se rencontrer *aaaaaah on tooooommmmmbe dans le bide de madaaaaame 😨 😭*, ben ça donne pas de bébé.
S’il y en a qui ont choisi cette option *quand on a déjà eu suffisamment d’enfant, ça peut se comprendre*, les retours d’expérience peuvent être intéressants.

Pour finir, et j’insiste bien sur le fait que ce n’est PAS un moyen de contraception : il y a la pilule du lendemain ! En gros, tu t’es foiré, t’as oublié ta pilule, le préservatif à craqué *ou alors t’étais tellement bourré que t’arrivais pas à le mettre, et madame non plus : remarque, tu as déjà eu le mérite de bander, il parait que c’est plus « dur »  (entendre par là plus difficile parce que t’es tout mou) quand on est fortement alcoolisé 😎*.
Il faut pas hésiter à aller en demander à une pharmacie : ils peuvent en délivrer sans ordonnance (et de façon anonyme et gratuit pour les mineures ou les étudiantes) !
Ça consiste en une forte décharge hormonale qui va virer le futur bébé s’il est là. #crampesaubide
C’est la même molécule qui sert aux avortements chimiques quand c’est pas trop avancé : pour dire si c’est efficace !
J’y ai eu droit pour un œuf clair : c’est quand ton corps crois que tu es enceinte, mais que y a pas de surprise dans le kinder *en gros, une coquille vide qu’il faut évacuer*

C’est possible que j’en ai oublié, mais je compte bien sur vous pour me le signaler !
Et n’oubliez pas, la contraception, c’est mieux quand c’est à deux : le choix peut impacter sur la vie du couple *#hormonesdemerdequimerendentaigriecommeunevieillefilleàchat*, sans pour autant perdre de vue que, si ça ne fonctionne pas, c’est quand même madame qui va grossir !