La littérature est de plus en plus créative *même si on trouve beaucoup de bouses*. Elle peut être une source de stimulations insoupçonnée, et ce, sous diverses formes : romans, nouvelles, BDs, et même mangas…

Ainsi, on peut trouver *outre les vieux Arlequins passion de mon adolescence* les fameux « 50 nuances » *il parait d’ailleurs que Décathlon a vu sa vente de cravaches augmenter drastiquement après la sortie des films, mais la sortie de « Thor » n’a pas fait vendre plus de marteaux à Leroy Merlin🤣*, mais aussi « Cross fire » de Sylvia Day *plus trash dans les détails, mais faut pas vouloir se comparer : t’es pauvre, ils sont riches… et beaux… et intelligents… ou pas toujours*, les fameuses BDs de Manara dont l’incontournable « Déclic » et autres…

Asmodius étant un fervent partisan de la culture nippone, il dévore les mangas et animes à longueur de temps *ça occupe l’esprit, il pense moins, ça le détend : tous les prétextes sont bon hein ^^*. Et parfois, il « tombe » *comme par hasard, comme de bien entendu* sur un manga assez… peu orthodoxe !
Et comme par hasard, il me le fait lire ! Forcément, ça émoustille !

Les deux dont je me souvienne pour l’un parlait d’un gars qu’on ne pouvait pas toucher sans avoir envi de le sauter, pour l’autre un gars qui initiait toutes les filles de son entourage au BDSM.

Asmodius : Le manga BDSM : Nana to kaoru
L’autre manga : Sweet Guy
Les deux dispo sur MangaKawaï

Conséquence directe : il a voulu essayer… *ben voyons*

Il faut dire que ses lectures ne sont pas uniquement récréatives : il ne faut pas croire, mais il y a multitudes d’astuces et détails importants dans ce genre de mangas *ils en font sur tellement de sujets, il faut pas qu’ils se foirent sur les sujets qui s’adressent aux connaisseurs*.

Fatalement : j’étais d’accord ! *pas folle*

Asmodius : Ah mais si…Folle d’envie de tester de nouvelles sensations 😛

Le choix de la corde est primordial *si on opte pour ça : il existe d’autres façon d’entraver*, d’autant plus que j’ai la peau fragile et qui marque *houlala, vi vi vi, faut pas que ça laisse des marques non plus*. En prendre une qui se lave facilement : il faudra le faire après chaque séance donc un passage machine en filet est plus simple qu’un lavage main.
Sinon, il y a les menottes *cuir ou pas* : bien faire attention que ça ne blesse pas la peau.

L’autre phase : l’entrainement pour faire *et défaire* les nœuds !
Parce que c’est bien beau de s’attacher, mais une fois qu’on a fait sa petite affaire, si c’est trop compliqué de tout défaire et qu’on doit tout couper à chaque fois, c’est un poil onéreux *et chiant*. D’ailleurs, toujours avoir un objet tranchant capable de tout couper en cas de problème : on veut se faire plaisir, pas se mutiler ou se tuer !

Il y a plusieurs façon de voir les choses une fois ça fait *pour les détails techniques, voir avec Asmodius : c’est lui le pro des nœuds, certainement un reste du scoutisme ça* : soit on est entravé/ée dans ses mouvements *volontairement bien sûr : toujours vérifier si la position n’est pas pénible ou dangereuse à la longue : on évite les garrots, on n’est pas des schtroumphs* en étant attaché/ée ou non à un objet *lit, à barreau c’est mieux : c’est ce qu’on a, mouahaha, croix de st André, pour ceux qui ont la place et la pièce pour…*, soit on est juste « habillé/ée » par ces cordes *pas de raison, pourquoi les hommes ne pourraient pas aimer se faire ligoter ?*.

L’un n’empêche pas l’autre bien entendu : la corde ou autre entrave *il existe des corsets ou serres taille particulièrement bien faits : on en a aussi, huhuhu* passant par des endroits stratégiques *sans pour autant blesser, j’insiste*

Les sensations sont très… particulières. Il faut avoir une confiance totale en l’autre, et bien définir une chose :

LE MOT !

Et oui, ce n’est pas une légende urbaine, ni une lubie ! Il sert effectivement à faire tout stopper si quoi que ce soit ne se passe pas comme prévu : en gros si ça va pas, douleurs etc.

Choisissez judicieusement : on évite les « ouille » ou autre, parce qu’on peut aimer avoir mal jusqu’à un certain point, et ça ressemble trop à « oh oui » *comment ça ça sent le vécu ? Je m’insurge… ou pas*.
Donc un mot facile à retenir et qui n’a, j’insiste, aucun rapport avec le sexe, ceci afin d’éviter toute confusion dans le feu de l’action.

Petite anecdote *après l’échec du « ouille » : oui, on est un peu con* : en plein ébat, on réfléchissait justement à un autre mot *il a cru à tort que je disais « ouille » et il s’est arrêté brutalement : mais noooon, continuuuuue*
Du coup, je pensais à un mot, comme ça, et je lui ai dit : et pourquoi pas … et il a fini à ma place : canard !

Fli-pant ! C’était exactement le mot auquel j’avais pensé !

Asmodius : Mes dons de lecture des pensées féminines sûrement 😛 (Super film ça : Ce que veulent les femmes)

Si vous voulez vous lancer, il y a aussi des accessoires tels que : masques en tout genres *que les yeux, cagoules ou autres* baillons à boule *attention, ça fait grave baver*, cravaches et autres « tapettes » en cuir ou pas, plumeaux pour chatouiller ou exciter *oui oui, certains aiment*, fouets, martinets…, crochet anal, bijou d’anus *ou rosebud*, divers plugs qui tiennent en place… Il n’y a de limite que l’imagination et l’acceptation.
Une fessée bien faite peut être très excitante : ça stimule la circulation sanguine et favorise l’augmentation des sensations ! *pas n’importe où quand même, on ne « fesse » pas les parties intimes de madame sans la prévenir, namého*

Asmodius : Des messieurs encore moins : ouille ouille ouille ! :S

Lilith : On a dit pas « ouille », on peut confondre avec « oh oui », et je doute que te faire gifler les couilles te fasse jouir !

Vous pouvez aussi utiliser ce qu’on appelle une « fuck machine » : un brin cher comme investissement, mais tellement précieux quand elle est de qualité *nous on avait pas trop de moyens à ce moment, elle est bien, mais on ne recommande pas celle là : elle reste pas en place la coquine*.
Avec ça, à vous les doubles pénétrations en tout genre, que ce soit en lien avec le BDSM ou pas d’ailleurs *Asmodius me dit souvent quand on est en vaginal et que je suis bien excitée : je peux mettre un copain ?… Aller, vas y, va la chercher. Et j’ai le droit à un « youpi »*

Le gros avantage de cette machine, et vous l’aurez compris, c’est les multiples possibilités sans pour autant faire intervenir une tierce personne *Lilith pas partager son Asmodius, Lilith trop jalouse*

Alors laissez libre cours à vos envies, mais à deux *ou plus si vous le voulez* : entendre que tout le monde doit être d’accord et savoir à quoi s’attendre !
Donc on fait pas ça le matin au réveil ou entre deux rendez vous à la pause midi : on prépare, on prend son temps, et surtout, on s’assure de ne pas être dérangé ! *attend, bouge pas (je peux pas connard, je suis attachée) je réponds juste au téléphone, c’est le boulot*

N’hésitez pas si vous avez des interrogations *technique ou pas* : on y répondra du mieux qu’on peut du haut de notre maigre expérience en la matière.
Et les retours d’expériences nous intéressent aussi : qui sait, ça peut donner d’autres idées ! 😍

Pour trouver tout le matos qu’il faut, vous avez bien sûr internet (comme toujours, gaffe à la qualité) pour tout ce qui est fuck machine, corde, et accessoires trop spécifiques *ça commence quand même à grave se démocratiser* et pour tout le reste aussi.
Sinon vous avez les « supermarchés du sexe » ou sex shop : souvent plus chers, mais on a l’avantage de pouvoir « tripoter » la marchandise. C’est là qu’on a pu constater qu’il y avait différents type de bijoux d’anus : outre la taille, la forme ou la couleur de la verroterie, il y a le poids  *et donc le prix : ouille*. Certains sont creux, et d’autres pleins : c’est fonction de l’usage et de la force du périnée.
Les vêtements un peu atypiques se trouvent assez facilement en salons *de l’érotisme bien entendu*. Ils font le tour des villes de France *d’ailleurs, il parait qu’il y en a un super en Belgique aussi *salut les Belges s’il y en a ^^* et je ne doute pas qu’il y en ait un peu partout ailleurs.
C’est souvent l’occasion d’échanger sans complexe avec des gens de toutes origines et des professionnels du métier qui ne vous jugent pas : très libérateur !